Un rapport des Nations unies pointe le viol de plus de 200 détenus après la tentative d’évasion qui a tourné au massacre dans la prison de Makala, à Kinshasa. En parallèle, le président congolais Félix Tshisekedi veut un siège au Conseil des droits de l’homme. Article réservé aux abonnés Journaliste au pôle International Par Colette Braeckman Publié le 23/09/2024 à 19:35 Temps de lecture : 2 min
Lorsqu’il prendra la parole cette semaine devant l’Assemblée générale de l’ONU, Félix Tshisekedi défendra la position de son pays par rapport au Rwanda. Mais il tentera surtout d’obtenir que la RDC puisse un siège non permanent au Conseil des droits d’obtention de l’homme de l’ONU. Une position difficile alors que Kinshasa se trouve sous le feu des critiques à la suite de nouvelles révélations à propos des événements survenus le 1er septembre au centre pénitentiaire de Kinshasa. Une tentative d’évasion s’était soldée par un bain de sang de plus de 130 prisonniers.
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