Venus du 42 pays du continent, des parlementaires participants, du 18 au 22 novembre à Kinshasa, aux travaux de la 84ᵉ session du Comité exécutif de l’Union parlementaire africaine (UPA).
Ouvert à l’hôtel Golden Tulip Kin Oasis, ce forum de quatre jours vise à consolider les acquis institutionnels de l’UPA et à renforcer la coopération interparlementaire africaine.
Cette session porte essentiellement sur l’examen des demandes de statut d’observateur, l’adoption du programme annuel de travail pour 2026 ainsi que du projet de budget pour l’exercice 2026.
Elle prévoit également l’adoption des amendements aux textes de l’UPA, ainsi que l’examen et l’adoption du projet d’ordre du jour de la prochaine session du Comité exécutif.
Dans son allocution, le président de l’Assemblée nationale de la RDC a formulé le vœu de voir ces travaux couronnés de résultats fructueux, porteurs de progrès pour l’Union parlementaire africaine.
Pour Aimé Boji, la RDC, pays attaché à l’idéal de l’unité africaine, reste engagé à travailler avec chaque parlement pour promouvoir la paix, la stabilité, l’intégration régionale et le développement durable.
« A travers cette session, nous avons l’occasion d’approfondir notre réflexion, de renforcer nos mécanismes de coopération et de consolider notre solidarité parlementaire, en vue d’apporter des réponses adaptées aux attentes légitimes de nos peuples », a-t-il souligné.
Pour sa part, le président sortant du Comité exécutif de l’Union parlementaire africaine, Ali Kolotou Tchaimi, a indiqué que ces travaux constituent un moment crucial, offrant aux participants l’opportunité de se pencher sur la mise en œuvre des recommandations adoptées lors des travaux précédents.
Il sera aussi question, selon lui, d’examiner les problématiques qui ont toujours été au centre des activités de l’UPA.
L’Union parlementaire africaine (UPA) regroupe les parlements nationaux africains afin de promouvoir le dialogue et la coopération interparlementaire.






