Publié le 09 mars 2024 à 07h27. / Modifié le 09 mars 2024 à 07h28. Offrir l’article !
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Le convoi de cinq véhicules 4×4 marqués de l’emblème du CICR s’élance de la sous-délégation de Goma dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) sur une ruelle cahotante du centre-ville. Direction : le camp de Lushagala, sur la route de Sake, où les combats font rage. Les voitures avancent presque au pas, drapeaux du CICR au vent, dans la cohue du trafic et au milieu des myriades de motos taxis.
L’agenda de Robert Mardini, le directeur général du CICR, est chargé : pas de place pour l’improvisation pendant les cinq jours que dure sa visite. A Kinshasa ont lieu les rencontres avec les officiels, mais à Goma, qui subit de plein fouet une crise humanitaire majeure, Robert Mardini ira surtout sur le terrain : le camp de Lushagala, l’hôpital de Ndosho et une station de pompage sur la rive du lac Kivu, autant de projets phares pour son organisation. Il veut s’adresser aux équipes, expatriés et employés locaux, et rencontrer les partenaires de l’institution dans le Nord-Kivu, notamment la Croix-Rouge de la RDC.
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