Marco Asensio a cru un penalty dans les derniers instants du match entre le PSG et le PSV Eindhoven, mardi en Ligue des champions (1-1). Mais après avoir sifflé une faute sur l’attaquant espagnol, l’arbitre s’est ravi en voyant les images au bord du terrain. Une décision qui pourrait avoir de lourdes conséquences pour l’avenir du club de la capitale dans la compétition.
Un money time sous haute tension, un stade qui pousse derrière son équipe, une pluie d’occasions et un penalty obtenu par Marco Asensio. Enfin presque… Le PSG a bien cru pouvoir l’emporter in extremis face au PSV Eindhoven, mardi en Ligue des champions (1-1). Après avoir été maladroits dans leurs derniers gestes tout au long de la soirée, les Parisiens ont entrevu la victoire dans le temps additionnel au Parc des Princes.
A la lutte avec Olivier Boscagli, Marco Asensio s’est écroulé dans la surface à la 90e+3. Glenn Nyberg, l’arbitre de la rencontre, a d’abord désigné le point de pénalité. Mais après avoir été appelé par ses adjoints en charge du VAR, l’officiel suédois est venu revoir l’action sur un écran installé au bord du terrain. Et il a décidé d’annuler la pénalité accordée aux Parisiens. M. Nyberg semble-t-il considérer que Boscagli avait touché le ballon plus qu’Asensio, qui a donné l’impression d’accentuer sa chute.
En difficulté au classement, avec un calendrier difficile
Cette décision a en tout cas douché les derniers espoirs de succès des Parisiens. Avec ce nul décevant face aux dirigeants du championnat des Pays-Bas, les joueurs de Luis Enrique confirment leurs difficultés dans cette nouvelle formule de la Ligue des champions. Après avoir battu difficilement Gérone (1-0) et perdu chez Arsenal (2-0), le PSG se retrouve avec seulement quatre points après ses trois premiers matchs.
Un bilan poussif qui laisse provisoirement les Parisiens à la 17e place du classement de la poule unique de la C1. En attendant de recevoir l’Atlético de Madrid (le 6 novembre) et de se déplacer chez le Bayern Munich (le 26 novembre) lors des prochaines journées.