La Société Civile de la Ville de Boma, dans la province du Kongo-central, Plaide pour la relance des actités des entreprises fermes afin de lutter contre la hausse de la criminalité urbaine. Elle indique que Depuis est la cessation de leurs activités, de Nombreux jeunes se rétrouvent Sans emploi et se se se le tournant des actes actes, mettant en peril la sécurité des habitants. Selon Les Acteurs de la Société Civile, Cette insécurit est L’UNE DES COMPRÉCÉRES DIRECTISS DE LA FERMETURE DE L’USINE DE LA SOCIÉTÉ BRASSICOLE, BRALIMA EN 2016.
Les Membres de CETTe Structure de l’appel des citoyens Citoyenne Notamment à la Réverture de L’Usine Bralima, Spécialisee dans la Production de Boissons Alcorolisées et Gazéus, Fermee Depuis Neuf Ans. CETTE FERMETURE RÉSulte de Plusieurs difficiles, ne vous a pas augmenté de plus de 50% des dromes des accises, Ainsi Qu’une Hausse de plus de 20% des tarifs de l’Eau et de l’Élécté.
L’Organisation Sourinene Que la Fermeture de Cette Entreprise A UE de Lourdes Répercussions sur le plan Social et Écononie à Boma. Elle a Notamment Entraîné Une Forte Hausse du Chômage, Laissant de Nombreus Personnes Sans activité et donc sans Revenus pour subvenir à leurs Besoins.
Par ailleurs, la situation s’est aggravée avec l’importation frauduleuse de boissons à bas prix en provenance d’Angola, ainssi qu’avec la cessation des exportations contre la province angolaise de cabinda, en raison de la crise écononomique.
Le coordonnateur de la société civile, titty Mpungu, Estime que la Relaance des Entreprises à L’Arrêt, à l’image de Bralima, Constituerait Uneponse Efficace à L’InsÉcurité Grandissante Vécuue Actualilement Par la Population de Boma.