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    ÉCONOMIE

    Felix Tshisekedi : les principaux défis du second mandat à la tête de la RDC

    Infos243By Infos243January 9, 2024No Comments12 Mins Read
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    • Bilan mitigé sur le plan sécuritaire
    • Tensions diplomatiques avec les pays voisins
    • Calmer la crise politique
    • Relancer l’économie
    • D’énormes défis sociaux
    • Liberté de la presse et lutte contre la corruption

    Crédit photo, Getty Images

    Article informationAuthor, Armand Mouko BoudomboRole, Journaliste – BBC AfriqueTwitter, @AmoukoBReporting from Dakar

    9 janvier 2024

    La Cour constitutionnelle congolaise a confirmé ce mardi 9 janvier la victoire du président sortant à l’élection présidentielle du 20 décembre 2023. S’ouvre à présent face à lui, une série de défis qu’il devra relever.

    Pour Félix Tshisekedi, 60 ans, l’heure est certainement à la préparation de la prestation de serment, prévue pour le 20 janvier prochain.

    Après la confirmation de sa réélection ce mardi 9 janvier 2024, avec 73,47 % des voix, il prêtera serment pour un second mandat de 5 ans, après celui qu’il a obtenu en 2019.

    Un mandat de la seconde chance, pour l’homme qui promettait à ses compatriotes en 2018, « un Etat de droit où la séparation des pouvoir sera une réalité ». Et qui avait affiché sa volonté « de mettre fin au règne des groupes armés qui endeuillent le Congo ».

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    Bilan mitigé sur le plan sécuritaire

    En campagne en décembre 2018 à Goma, l’une des plus grandes villes de l’Est du pays, une partie de la RDC en proie à une crise sécuritaire qui dure depuis des décennies, Felix Tshisekedi a déclaré par exemple :

    « Toutes ces atrocités que nous voyons à Beni, tous ces massacres, toutes ces violences, nous allons les éradiquer. Nous irons voir nos voisins et nous allons essayer de trouver un terrain d’entente parce que nous ne voulons plus qu’une seule vie de Congolais soit perdue dans ces violences inutiles ; nous allons défendre le pays. »

    M. Tshisekedi a par la suite pris plusieurs initiatives pour restaurer la paix dans le pays, décrétant en 2021, un état de siège dans les provinces de l’Ituri et du nord kivu.

    Un régime d’exception qui a remplacé l’administration civile, avec pour but de mettre fin à l’action des groupes armés dans la région.

    Il a ajouté à cela, un appel à la mobilisation de la jeunesse, qui a permis de recruter des milliers de jeunes dans les rangs de l’armée régulière, et a lancé une opération de désarmement, visant à réinsérer les membres de groupes armés dans des activités civiles.

    Pourtant, les résultats ne semblent pas suivre, même si F. Tshisekedi estime que ses initiatives ont porté des fruits.

    Pour lui, « Ce régime d’exception a permis l’amélioration de la situation sécuritaire dans certaines zones des deux provinces concernées, notamment la réduction de la fraude minière et douanière transfrontalière qui alimente les conflits, la réduction des tensions intercommunautaires ainsi que la stabilité de l’administration à travers le rétablissement de l’autorité de l’État » a-t-il déclaré devant les parlementaires le 3 novembre dernier.

    Or, sur le terrain, la situation reste tendue. Le 14 novembre, la localité de Kishishe dans le nord Kivu, reconquise quelques mois plus tôt, est retombée aux mains des rebelles du M23.

    Selon l’OIM, on compte 6,9 millions de déplacés internes en RDC, dus à cette crise, dont 4.500 durant le seul mois de novembre.

    Tensions diplomatiques avec les pays voisins

    Crédit photo, Getty Images

    Légende image, Le président congolais Félix Tshisekedi désormais à couteaux tirés avec son voisin rwandais Paul Kagame.

    Après six mois de calme relatif, les affrontements ont repris début octobre dans le Nord-Kivu entre la rébellion du M23 et l’armée congolaise (FARDC) alliée à des groupes armés se présentant comme des “patriotes” Wazalendo.

    Dans la recherche des solutions à la crise, les autorités congolaises ont initié des actions diplomatiques avec le regroupement des Etats est-africains, qui ont conduit à des initiatives de Nairobi au Kenya et de Luanda en Angola, visant à mettre fin au conflit.

    Ces initiatives ont donné lieu à un dialogue entre l’Etat et les groupes armés opérant dans l’Est de la RDC, à l’exception du M23, et la mobilisation d’une force régionale, qui s’est retirée quelques mois plus tard.

    « La force régionale s’est muée en force d’interposition en mettant en place des sortes de zones tampon dont personne ne voulait », analyse Onesphore Sematumba, chercheur de International Crisis Group, pour la région des Grands lacs.

    Kinshasa accuse régulièrement le Rwanda voisin de soutenir les rebelles du M23, ce que Kigali a toujours nié.

    Lors de la campagne pour la présidentielle du 20 décembre dernier, Felix Tshisekedi a menacé de s’attaquer au Rwana, s’il est réélu.

    « Je vais convoquer le Parlement en congrès pour m’autoriser à déclarer la guerre au Rwanda », avait-il lancé, devant une foule de militants à la place Sainte-Thérèse de Kinshasa.

    Déclaration à laquelle le président rwandais a réagi, deux semaines plus tard. « Ce sont ceux qui la souhaitent (la destruction ndlr) pour nous qui en feront l’expérience », a-t-il promis à ses compatriotes réunis au palais, le 30 décembre dernier, pour la traditionnelle fête de fin d’année.

    LIRE AUSSI :  Forum économique RDC-Chine : le DG de l'ARSP encourage le partenariat entre les entrepreneurs chinois et congolais pour le développement de la chaîne de valeur au pays

    Kinshasa est aussi en froid avec Nairobi. Allié de la RDC dans la lutte contre l’insécurité, le Kenya semble avoir changé de politique depuis l’alternance à la tête de l’Etat.

    La tension est montée en décembre dernier, lorsqu’en pleine campagne électorale, l’ancien président de la Commission électorale congolaise, Corneille Nangaa a lancé le 15 décembre, une « alliance du fleuve Congo » depuis Nairobi.

    Une coalition politico-militaire regroupant des groupes armés parmi lesquels le M23, exerçant dans les provinces congolaises du Nord Kivu, du Sud Kivu et de l’Ituri, dont l’objectif est de « sauver la RDC et d’y garantir le retour de la paix » .

    En réaction, La RDC a rappelé son ambassadeur basé à Nairobi ainsi qu’auprès de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Est (EAC) et convoqué celui du Kenya accrédité à Kinshasa.

    Kinshasa a également demandé aux autorités Kenyanes d’arrêter l’ancien président de la CENI, qui y vit en exil depuis quelques mois.

    Une demande qui a essyé une fin de non recevoir de la part du président William Ruto, « Nous (NDLR Kenya) n’arrêtons pas des gens qui ont fait une déclaration, nous arrêtons des criminels » a-t-il déclaré.

    La gestion de la crise politique à l’Est, qui s’est muée en crise diplomatique sous-régionale va être l’un des enjeux du second mandat du président congolais, mais pas que.

    Calmer la crise politique

    Crédit photo, Getty Images

    Légende image, Les opposants Moïse Katumbi (à gauche) et Martin Fayulu (à droite) lors d’une manifestation de l’opposition à Kinshasa.

    Le contentieux postélectoral a été peu animé, par rapport à celui de la présidentielle de 2018. Cette année, seuls deux dossiers ont été reçus devant la Cour constitutionnelle, dont celui de l’opposant Théodore Ngoy, arrivé avec 0,02 % des voix selon les résultats publiés par la CENI, et celle de David Mpala Ehetshe.

    Leurs demandes d’annulation du scrutin du 20 décembre 2023 pour « irrégularités graves » ont été déboutées devant la Cour constitutionnelle pour qui les deux « recours étaient recevables mais non fondées. »

    Ce manque d’engouement dans la contestation juridique de ce scrutin n’illustre pourtant pas la quiétude au sein de la classe politique congolaise.

    Les principaux opposants, dont Martin Fayulu, Moïse Katumbi ou encore Denis Mukwege ont exprimé leur désapprobation des résultats du scrutin, bien avant la proclamation des résultats provisoires par la CENI.

    Le jour du scrutin, une coalition de 4 candidats dont Martin Fayulu ont appelé à l’annulation des résultats.

    Moïse Katumbi, arrivé officiellement deuxième, dénonce plusieurs griefs dont « la présence de machines à voter dans des domiciles privés » et promet de ne pas accepter ces résultats, et appelle à des « manifestations pacifiques ».

    Martin Fayulu, le candidat arrivé 3 ème avec 5,33 %, selon les résultats publiés par la CENI, a également refusé d’attaquer les résultats devant la Cour constitutionnelle.

    « Nous ne légitimerons pas une Cour constitutionnelle qui n’en est pas une. Une cour politisée et tribalisée… La classe politique doit se réunir pour fixer la forme de la gouvernance, et la date des bonnes et prochaines élections », a déclaré à la BBC, Prince Epenge, porte-parole de Martin Fayulu.

    Le gouvernement par la voix de son porte-parole, Patrick Muyaya a déjà prevenu qu’il n’acceptera aucune manifestation de rue.

    Par le passé, plusieurs manifestations de l’opposition ont été violemment dispersées par la police à Kinshasa, avant et après les élections.

    En mai dernier, plusieurs dizaines de militants de l’opposition ont été blessés lors d’une manifestation appelée par des opposants dont Moise Katumbi, Martin Fayulu, Augustin Matata Mponyo et Delly Sesanga contre l’insécurité, la vie chère et l’opacité du processus électoral.

    Au cours de la même manifestation, la police a fait état de 25 blessés au sein de ses rangs, dont deux dans un état grave.

    Le retour de la quiétude dans la classe politique sera aussi l’un des défis du président Tshisekedi.

    Relancer l’économie

    Crédit photo, Getty Images

    Légende image, L’économie de la RDC fait face à une forte inflation.

    La RDC regorge d’énormes ressources naturelles. Elle détient entre autres, plus de la moitié des réserves mondiales de cobalt, un minerai essentiel à la fabrication des téléphones portables et des batteries de voiture, ainsi qu’un potentiel hydroélectrique unique en Afrique.

    L’économie est dominée par le secteur informel, qui représente 70 % du tissu économique qui pourvoit plus de 90 % des revenus des ménages proviennent des activités de l’informel et l’inflation a atteint les 22 %, conséquence du conflit Russo-ukrainien.

    « Quand vous avez un système économique extraverti où les entreprises n’ont pas de travail et que le travail est dans la rue, automatiquement le système économique va en pâtir », explique l’analyste économique et homme d’affaires congolais Mathieu Takizala.

    LIRE AUSSI :  Élections en RDC 2023: à quels défis sociaux et économiques le pays fait-il face ?

    Ce qui contraste avec les ambitions du président réélu, lorsqu’il sollicitait le premier mandat.

    Felix Tshisekedi a promis de faire de la lutte contre la pauvreté, « une grande cause nationale ».

    L’un de ses objectifs était notamment de faire « augmenter le revenu moyen par personne à 11,75 $ par jour, comparativement à 1,25 $ aujourd’hui », avait-il confié lors d’une interview à la BBC en décembre 2018.

    Confiant aussi que son programme peut s’étaler sur deux mandats présidentiels – une période de 10 ans – et coûtera environ 86 milliards de dollars.

    Mais selon la Banque mondiale, près de 62 % des Congolais, soit environ 60 millions de personnes, vivaient avec moins de 2,15 dollars par jour en 2022.

    D’énormes défis sociaux

    Des inégalités hommes-femmes à la lutte contre la corruption, en passant par le vivre-ensemble et les chantiers routiers, Felix Tshisekedi a du pain sur la planche.

    Sur le plan infrastructurel, la RDC qui fait 2,3 millions de kilomètres carrés ne compte que 3000 kilomètres de routes bitumées selon les chiffres les plus récents du ministère des travaux publics. Le reste des 158 mille kilomètres de routes étant en terre.

    Ce qui rend difficile les déplacements à l’intérieur du pays, et les populations ont recours à des embarcations de fortune dont les chavirements fréquents coûtent la vie à des dizaines de personnes par an.

    Pour Uber Wangota, sociologue du développement, « la priorité des priorités dans le contexte congolais, c’est pratiquement le chantier route. Parce que là où la route passe, le développement suit. Et, vous allez voir également que si et seulement si le gouvernement s’investit dans la remise en état de presque toutes les routes importantes du pays, ce qu’on appelle communément les routes nationales qui passeraient par tous les territoires, localement on ferait un effort de manière à relier les routes secondaires provinciales et les routes de desserte agricole à cette route principale bitumée, ce qui aurait des répercussions jusqu’au niveau de la sécurité qui va même s’améliorer ».

    Sur le plan éducatif, Felix Tshisekedi a décrété la gratuité de l’enseignement primaire qui est entrée en vigueur en septembre 2019.

    En novembre dernier devant les parlementaires, le dirigeant congolais a dit que « 1 230 écoles ont été construites dans le cadre du Programme de développement Local de 145 territoires ».

    Ce qui aurait permis « d’augmenter de plus de 5 millions, le nombre d’élèves inscrits » a-t-il ajouté.

    Mais des efforts restent à faire dans le secteur selon Ocha, le bureau de coordination des affaires humanitaires, qui a établi dans un rapport que « plus de 7 millions d’enfants de 5 à 17 ans étaient toujours non scolarisés en 2022 ».

    L’organisation note aussi que le taux d’alphabétisation des femmes est de 22 % inférieur à celui des hommes, et que les salaires des femmes sont 77,3 % inférieurs à ceux des hommes.

    Sur le plan sanitaire, le président congolais a lancé en septembre dernier la gratuité de l’accouchement dans les hôpitaux publics, dans un pays où près de la moitié de la population n’a pas accès à des soins de qualité selon Ocha.

    L’agence Onusienne note aussi que le pays compte parmi les pays avec le taux de mortalité les plus élevés au monde, avec un taux de 70 décès pour 1000 naissances.

    Liberté de la presse et lutte contre la corruption

    Crédit photo, Getty Images

    L’autre chantier majeur sera aussi la lutte contre la corruption. « Elle n’a épargné aucun secteur », a laissé entendre Jules Alingete, le patron de l’Inspection Générale des Finances de RDC, dans une interview à la BBC en décembre dernier.

    Le pays a occupé en 2022, le 166e rang sur 180 pays selon l’indice de perception de la corruption de Transparency International. Selon les données de l’organisation, 80 % des usagers des services publics ont versé un pot-de-vin au cours de l’année en revue.

    Il y a aussi la question de la liberté de la presse. Selon Reporters sans frontières, le pays a occupé le 124 ème rang sur 180 en 2023.

    Journaliste en danger (JED), une autre organisation de défense des droits des journalistes, a indiqué dans un rapport en novembre dernier, avoir documenté au moins 88 cas d’attaques diverses contre les journalistes et les médias en République démocratique du Congo depuis le début de l’année électorale.

    Parmi ces agressions, souligne l’organisation, on compte 40 cas de violences physiques, 30 cas d’arrestations ou d’interpellations, et 18 cas de fermetures de médias ou d’interdictions de programmes ou émissions politiques.

    Lors du premier mandat de Felix Tshisekedi, l’organisation dit avoir noté 523 atteintes contre la presse, dont 160 arrestations depuis son arrivée au pouvoir.

    Lors d’une conférence de presse au lendemain de la publication de ce rapport, le porte-parole du gouvernement congolais, Patrick Muyaya a accusé l’organisation d’être parcellaire et de ne soulever que les points noirs.

    Il a aussi précisé que « La plupart de journalistes touchés ou assassinés l’ont été dans l’est du pays où il y a un climat d’insécurité entretenu par le M23 ».





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