Le directeur général de l’agence nationale d’investigation Financière aurait détourné les équipements de surveillance de son bureau à des fins personnelles, enregistrant méthodiquement ses relations intimes. Les révélations font état de plus de 400 vidéos compromettantes, tournées dans des lieux aussi variés que des espaces professionnels ou des endroits publics. Le caractère systématique de ces enregistrements, où l’on aperçoit même l’homme surveillant ses écrans de contrôle pendant ses ébats, témoigne d’une organisation méticuleuse.
La fuite sur les réseaux sociaux de vidéos compromettantes aurait été orchestrée par le responsable de la sécurité présidentielle, dont l’épouse figure parmi les nombreuses partenaires de « Bello ».
Parmi les femmes impliquées, on compterait également la femme du procureur général, la fille du directeur général de la police, ainsi que les épouses de plusieurs ministres et même d’un de ses oncles enceinte.
Face à cette situation, le parquet a ouvert une enquête pour déterminer si Baltasar Ebang Engonga n’aurait pas délibérément propagé une maladie sexuellement transmissible auprès de toutes ces femmes. Une action visant à évaluer l’impact sanitaire potentiel de cette affaire à l’échelle nationale.
« Avec près de 400 femmes potentiellement concernées, c’est toute l’interconnexion du pays qui est menacée. Les autorités doivent agir rapidement pour protéger la population », a déclaré une source proche du dossier.
Le directeur général de l’ANIF, qui occupe un poste stratégique au sein du gouvernement, risque désormais de lourdes sanctions s’il s’avère qu’il a sciemment mis en danger la santé publique.
Fils de Baltasar Engonga Edjoo, président de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC).
Le Don Juan est âgé d’une quarantaine d’années et est connu à Malabo comme étant un jet setteur. En effet, il fait partie des personnages publics les plus populaires de la Guinée Équatoriale.
Selon les informations révélées, M. Ebang Engonga, marié et père de 6 enfants, aurait entretenu des relations intimes avec de nombreuses femmes, dont certaines seraient les épouses de hauts responsables du pays.
Cette affaire dévoile les failles d’un système où pouvoir et privilèges s’entremêlent dangereusement. La fuite des vidéos, possiblement orchestrée par les services de sécurité eux-mêmes, génère une atmosphère de suspicion généralisée. Les familles équato-guinéennes vivent dans l’angoisse de voir apparaître le visage d’un proche dans ces enregistrements compromettants.
RGL